L’article sur mes anecdotes de conductrice en herbe vous a beaucoup plus et plusieurs d’entre vous m’ont demandé un update. Alors le voici ! Je vous invite quand même à (re)lire le premier épisode, histoire de suivre toute l’histoire. Après trois mois et des poussières de conduite en Angleterre, je peux affirmer être devenue une pro de la conduite à gauche. Comme pour le précédent article, je vous liste les petites anecdotes de trois mois de conduite en Angleterre.
Si vous cherchez des infos sur la conduite au Royaume-Uni (avec une voiture britannique, mais pas que), il y a un article sur le sujet, à lire ici.
Mes anecdotes de conductrice aguerrie
- Je ne me plante plus de côté pour attraper la ceinture de sécurité.
- Je n’ai même pas galéré en reprenant le volant à gauche en France.
- J’ai juste essayé d’attraper la ceinture à droite. Fallait bien qu’il y ait un problème à un moment donné.
- L’épreuve du créneau n’a pas été si redoutable que ça au final. J’ai même plutôt géré (mais je me suis garée sur la voie de droite par contre).
- Du coup, je redoute quand même l’épreuve du créneau en me garant du bon côté de la route.
- Les minuscules panneaux de limitations de vitesse ne me choquent presque plus, et j’arrive même à les anticiper. Bon, c’est probablement parce que je prends la même route tous les jours pour aller bosser.
- Je sais enfin ce que signifie le panneau Hidden dip à l’entrée du village, mais je serais incapable de vous l’expliquer. En gros, la route forme une espèce de cuvette : les voitures qui se trouvent sur une certaine portion de la route disparaissent complètement.
- J’aime prendre la quatre-voies quand il fait nuit.
- Mais je n’aime toujours pas la quatre-voies quand il fait jour, ni quand il pleut (je n’ai pas encore testé la nuit quand il pleut par contre).
- J’ai conduit en pleine cambrousse (cf. le Peak District), et c’était toute une aventure.
- Je me suis retrouvée face à face avec un tracteur et j’ai presque dû encastrer la voiture dans des buissons pour qu’il passe. Mais easy peasy, tout s’est bien passé
après une crise de panique. - Je me suis retrouvée face à face avec des vaches aussi. Toujours au Peak District.
- Je me suis finalement perdue. Derby, je te hais !
- Je m’étonne toujours autant de la courtoisie des Britanniques au volant.
Conduire en Angleterre
Je peux aujourd’hui affirmer que conduire en Angleterre m’est quasiment aussi naturel que conduire en France. Faire l’aller-retour Ketton-Peak District aura quelque peu mis mes nerfs (et mes réflexes) à vif, mais finalement rien de bien méchant. Je suis ravie d’avoir eu la chance de tenter l’expérience. Aujourd’hui, je prends la voiture plusieurs fois par jour, et je n’ai aucun souci avec ça. J’ai vraiment l’impression d’être devenue une conductrice aguerrie ! Enfin, on en reparlera quand j’aurai roulé sur 20 centimètres de neige cet hiver hein.. 😉
2 commentaires
Oh lala, j’en ai plein aussi des anecdotes sur la route en Angleterre! A nous 2 on pourrait ecrire un livre je pense 🙂
Je dis oui pour le livre ! 😉 xx